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HADEN

Newsletter CSEDT # 9.
Août 2019

Créée en 1919, la CSEDT - Chambre syndicale de l'Estampe, du Dessin et du Tableau - est un syndicat professionnel qui regroupe des galeries et des experts spécialisés dans le domaine de l'ancien, du moderne et du contemporain.
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1919-2019

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Catalogue

Nouveau catalogue, Grosvenor Prints

Nouveau catalogue, Grosvenor Prints
Summer Catalogue N°92

A découvrir en ligne le nouveau catalogue de la Galerie Grosvenor Prints, avec un focus sur les œuvres de l'artiste Herbert Dicksee's : https://www.grosvenorprints.com/stock.php?keyword=%2192Dicksee&WADbSearch1=go

52085
HD. Herbert Dicksee Frost & Reed Ltd, Bristol & London, 1915. Etching, signed artist's proof. 190 x 350mm (7½ x 13¾"), with large margins, Frost & Reed blind stamp. …
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Derniers Jours
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Antonio Segui, exposition à la Bibliothèque nationale de France François-Mitterrand

11 quai François-Mauriac, Paris, France
www.bnf.fr
Exposition en entrée libre (gratuit) jusqu'au 25 août

Artiste argentin installé en France depuis plus de 50 ans, Antonio Seguí (né en 1934) est à l’origine d’une œuvre figurative qui fait vivre un monde coloré et graphique, sur fond d’agitation urbaine. À travers un personnage récurrent coiffé d’un chapeau, archétype de l’homme anonyme, qu’il met en scène seul ou perdu dans la ville et qu’il confronte à des situations tragiques ou cocasses, le peintre tend à réduire l’homme à son comportement social. À la suite de la donation effectuée par Antonio Seguí qui a permis d’enrichir les collections du département des Estampes et de la photographie ainsi que de la Réserve des livres rares, la BnF expose en galerie des donateurs une cinquantaine d’estampes, la plupart inédites, qui vont permettre de (re) découvrir l’univers de cet artiste singulier.


Expositions
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Sur la route du Tokaido, exposition au Musée Guimet

du 10 juillet au 07 octobre 2019

L’acquisition récente d’un important album d’estampes du Tokaido ayant appartenu à Victor Segalen (1878-1919), poète, romancier et sinologue, est l’occasion de présenter pour la première fois au public cette route autour de laquelle s’agrègent de nombreuses estampes fameuses.
Le Tokaido ou « route de la mer de l’Est » est le plus important des itinéraires (kaido) du Japon. Il est surtout connu en Europe pour être une route littorale pittoresque, plus exactement une des cinq routes du Gokaido, tout autant itinéraire touristique que tracé participant à la construction d’un espace politique dans le Japon de l’époque d’Edo (1603-1868).
C’est ce que montre « l’album Segalen » à travers ses près de 200 estampes et sa cohorte d’artistes : Utagawa Kunisada, Hiroshige II, Toyohara Kunichika, Kawanabe Kyosai, Utagawa Sadahide, etc.

En cheminant sur la route du Tokaido, le MNAAG propose à ses visiteurs de l’accompagner dans une entreprise littéraire, artistique et mémorielle.


Lire la suite :
https://www.guimet.fr/event/sur-la-route-du-tokaido/

www.guimet.fr

Festival
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ARTour - édition 2019

ART CONTEMPORAIN ET PATRIMOINE
D’UN TEMPS À L’AUTRE
23/06 > 08/09/2019
Région du Centre, Belgique
Dix lieux de culture ou sites remarquables et autant d’artistes d’aujourd’hui pour un dialogue surprenant et inspirant. La variété et la richesse de l’offre culturelle dans la région du Centre (Belgique) ne sont plus à démontrer. Certains de ces lieux sont connus, d’autres un peu moins. Pendant tout l’été, ces musées et ces sites patrimoniaux s’ouvrent à l’art contemporain.

Pour sa douzième édition qui se tiendra du 23 juin au 8 septembre, la biennale ARTour a choisi la thématique D'un temps à l'autre. Une exploration du temps de La Louvière à Soignies à travers des œuvres créées pour l’occasion ou intégrées dans un contexte nouveau pour inviter au dialogue entre passé et présent.
La Louvière se taille la part du lion, pour ne pas dire celle du loup, avec de nombreuses expositions ou interventions d’artistes.

Le Centre de la Gravure et de l’Image imprimée revisite ses collections sous le signe du temps qui s’écoule avec une sélection d’une trentaine d’artistes. Laurent Quillet fait dialoguer les images et les mots qui captent la beauté dans la banalité du quotidien avec les sculptures de Ianchelevici au Mill. Plonk et Replonk réinventent les fake news en détournant de vieilles cartes postales avec leur humour absurde au Centre Daily-Bul & Co. Au château Gilson, les ustensiles média, déjà obsolètes, retrouvent une nouvelle vie détachée de toute ambition productive dans des dispositifs interactifs et poétiques créés par Maia Blondeau, Helga Dejaegher, Colin Ponthot, Valkiri. À la Maison du Tourisme, Marco De Sanctis puise dans la sculpture antique et les gravures anciennes les pièces d’un fascinant rébus sculpté. À Bois-du-Luc | Musée de la Mine et Développement Durable, Jean-Philippe Tromme a créé un herbier de bronze où de frêles plantes de jardins sont figées dans le métal dans une ode à la vie et à la fragilité. Les installations de Maëlle Dufour interrogent le paysage minier, alors que Stéphanie Roland amplifie l’atmosphère énigmatique de la cité ouvrière pour emmener le visiteur dans une bulle de science-fiction. Dans l’exposition Migr’Actions, l’héritage multiculturel du site minier trouve aussi un écho dans une réflexion artistique sur les causes migratoires. À Binche, le duo franco-chinois, Benoît + Bo insère au milieu des collections du Musée International du Carnaval et du Masque ses photos de personnages du quotidien belge portant les masques traditionnels chinois en papier mâché. À Mariemont, la troublante vidéo de Alex Verhaest emprunte les codes picturaux de la Renaissance pour sonder le manque de communication dans une famille contemporaine. À Carnières, la collagiste et dessinatrice Emelyne Duval rencontre l'œuvre du peintre Alexandre-Louis Martin dans un dialogue ouvert entre deux artistes et deux époques sur l’espace et le temps. À Soignies, dans la collégiale Saint-Vincent, trois artistes, Philippe Dubit, Etienne Colaset Pierre-Jean Foulon, plongent dans le mythe du Saint Sang de la communion.
ARTour est plus que jamais une invitation à la promenade et à la découverte et aux chemins de traverse. Même les lieux qu’on croit connaître réservent de petites surprises au visiteur.
ARTour n’est pas un marathon. Les différentes propositions sont comme un rébus ou un jeu de piste. Un site mène à l’autre, jamais très loin.

Dans chacun de ces sites, un Guide du visiteur portant sur l’ensemble des événements est disponible. Il est téléchargeable sur le site artour.be.

Un pass (10 €) donne accès aux cinq musées payants du parcours.

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